
Numéro : 201
Parution : Juin / Juillet 2020
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"L’avantage de la Corse est que l’on peut encore trouver des coins de paradis sans qu’il y ait personne autour de soi : on se retrouve alors seul sur la plage. Cette photo est un souvenir de cet été avec ma famille où une fois de plus nous nous retrouvons avec une plage « privée ».La vue en drone permet un point de vue plus large et surtout d’admirer le dégradé de bleu de l’eau.
Ma copine ayant acheté un paddle (le jaune sur la plage), mes parents ont été jaloux et en ont acheté un aussitôt !
C’est vrai que le paddle est formidable outil de liberté, surtout dans des endroits comme ça !
Cela permet de s ‘amuser, explorer, vadrouiller, le top quoi !
En résumé, vive le paddle, vive la liberté et vive la Corse !"
"Fin de journée à Tahaa avec le vent qui disparaît. Le coucher de soleil s'annonce magnifique et je mets le drone en l'air pour prendre quelques prises de vue … et je vois sur mon écran une raie manta en train de passer discrètement derrière Lotus. Inespérée, cette photo reflète bien ce moment magique."
"Mon but en vous partageant cette photo est dans un premier temps grâce à son aspect visuel vous apporter un sentiment de confort et de tendresse, les couleurs douces et chaleureuses du ciel venant fondre dans la mer permettent d'agréablement faire ressortir le sujet en contre-jour.
La mer plate nous transmet un sentiment de sérénité qui peut facilement nous transporter à la place de la paddleuse, au milieu de l'eau, debout sur sa planche savourant un lever de soleil au premières loges.
L'aspect réconfortant de cette photo permet de facilement s'y reconnaître, de s'y identifier pour admettre que dans la vie il n'est jamais trop tard pour un nouveau départ, un départ vers une nouvelle vie, ramer vers le soleil levant, vers de nouveaux jours et de nouvelles épreuves, symbolisées par ces deux oiseaux qui vous font face mais qui vous transportent vers la liberté une fois ces derniers dépassés."
"Je lance le drone depuis la barque (Va’a). Le drône n’a plus de batterie, je dois le recuperer en vol à la main, sauf que la mer est assez agitée, ca balance dans tous les sens, je choppe le drone, je me coupe un doigt avec les hélices, de l’eau de mer sur ma plaie, je saigne, je me plains, je suis pas content parcequ’on n’arrive pas à pagayer droit, j’ai mal au doigt. Mais c’est probablement l’un des plus beaux souvenirs que j’ai de Bora-Bora. "
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