Treasy 4.0
- Treasy 4.0
Attachez vos ceintures, oubliez beaucoup de ce que vous avez appris sur l’eau depuis que vous êtes né, mettez le levier jaune sur manuel et vérifiez la porte opposée : à bord du Befoil 16 Sport, le décollage est imminent !
Lieu de l’essai : Saint-Pierre-Quiberon
Conditions : 8-9 nœuds, rafales à 12 d’OSO - Mer peu agitée
La coque du Tornado d’Eric Tabarly volait en 1976, les AC72 de la 34e America’s Cup volaient en 2013, les Ultims volent, les GP50 volent, Jean-Pierre Dick et Tom Phipps volent casqués sur leurs ETF26... Bref, du côté des multicoques de compétition, la messe est dite, semble-t-il. Même les monocoques les plus pointus – comme les plus ronds d’ailleurs – se sont mis aux foils – les Moth et les AC75 volent avec brio, tandis que les IMOCA et les Mini 6,50 sont encore à la peine. Mais nous, simples amateurs, sommes-nous condamnés à l’ancestrale navigation archimédienne ? Pour l’éditeur passionné de voile Benjamin Magnard, la réponse est clairement non. Dès 2011, il lance le projet « Voilavion ». Dix ans plus tard, Multicoques Mag essaye son descendant direct : le Befoil est le bateau qui a pour ambition de rendre le vol accessible à tous.
L’eau, 816 fois plus dense que l’air
Jusqu’à la fin du XIXe siècle, la longueur était le facteur clé de la vitesse d’un voilier. Pour la plupart des bateaux qui naviguent à la voile, cela reste d’ailleurs d’actualité. Alors, que s’est-il pas...
Prix de l'essai5.00€
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